Il a toujours été dans notre mode de conduite de privilégier les ingrédients de qualité tout en bannissant les additifs et conservateurs qui n’ont pas lieu d’être pour nos produits. Nous essayons au maximum de nous fournir de plus auprès de producteurs belges (parce que l’union fait la force, n’est-ce-pas?).
Tout d’abord, la farine vient du moulin de Vencimont. Une farine naturelle, sans additif, ni améliorant ou enzyme de synthèse issue de céréales produites en Wallonie.
Nos œufs frais sont produits à la ferme de Frocourt à Eghezée.
Nous utilisons aussi du vrai beurre dans nos préparations, pas de margarine d’aucune sorte…
Bien sûr, dans les biscuits qui en demandent, le chocolat est belge pour cause de fierté nationale et la vanille est issue de vraies gousses de Madagascar (après, si vous connaissez un producteur wallon, libre à vous de nous en faire part!)!
Pour les curieux, vous aurez peut-être remarqué l’apparition dans les rayons des biscuits apéritif aux drêches. Mais qu’est-ce que la drêche? Il s’agit des « déchets » de l’industrie brassicole, autrement dit de la matière solide obtenue après filtration lors du brassage, soit le malt, les grains d’orge ou encore d’épeautre résiduels.
Mais peut-on vraiment parler de déchets quand cela contient autant de bénéfices nutritionnels? En effet, elles sont bourrées de fibres et de protéines en plus d’être une bonne source de fer! Il serait donc dommage de les jeter!
Pour faire « on ne peut plus local », je suis donc allée quémander de la drêche auprès de mes voisins, la Brasserie de l’Orne, brasserie bio se trouvant aussi sur le site du projet « Sur le champs » (Avis aux amateurs, ils ont de nombreuses sortes de bières qui valent le détour!).